Triumph Herald

Commentaire du proprietaire: Réparations effectuée sur Triumph Herald 1200 de 1968 châssis n° 1GB57042LDLNouvelle dynamo, régulateur de charge, moquette complète ,supports moteur, disques freins av, plaquettes, tuyaux de freins av ar, roulements av, tambours ar,ferrodos, ar,coupelles, ar,pistons, av inox,coupelles, av,allumage, complet, durites complètes ,joint cache soupapes, coupelles embrayage, maitre cylindre et récepteur, maître cylindre de freins, huile de freins et embrayage DOT5 silicone,courroie ventilateur,4nouveaux pneus a flancs blanc,moulures pare brise et carreaux chromes,balais essuies glace chromes,pot d’échappement ,butoirs pare choc ar, caoutchouc pédales, silents blocs capot av, gros entretien vidange moteur boite de vitesse, pont graissage rénové démarreur, radiateur a eau, tunnel de bv ,câblage complet,volant en bois,traite plancher anti rouille epoxy, +insonorisant,traite corps creux, portières ,coffre av ar châssis et caisse,carrosserie et toiture nouvelle peinture.
Historique. La Triumph Herald fit une bombe dans le paysage automobile britannique, qui n'avait jamais vu une voiture de la marque de Coventry qui ressemblât à celle-ci. On était à l'époque des roadsters TR4 et TR5, et la berline Standard remontait à près d'une décennie, et avait plutôt l'air d'un modèle de l'immédiat après-guerre. Au départ, c'étai tune voiture à deux portes, quatre places, et à la cylindrée de 948 cm³. Ce qui faisait principalement son attrait, c'était une carrosserie magnifique signée par l'Italien Michelotti. De plus, l'intérieur était particulièrement soigne, et le tableau de bord se distinguait par un splendide tachymètre Smith qui incluait, outre le compteur kilométrique, la jauge à essence et en option, la température d'eau. Parmi les options, deux carburateurs et, chose plus rare pour un aussi petit véhicule, un intérieur entièrement cuir au lieu du skaï de série. Avant sa mise en circulation, et pour tester la solidité et la fiabilité du prototype, la voiture parcourut l'incroyable distance de Cape Town en Afrique du Sud à Tanger au Maroc. L'Herald fut présentée au Royal Albert Hall en avril 1959 mais, au grand dam de ses concepteurs, elle n'obtint au départ qu'un succès mitigé, car elle était chère par rapport à la concurrence. A cause de la mauvaise santé" de Standard-Triumph, la société fut repriseen 1961 par British Leyland, qui revit sa cylindrée à la hausse : ce fut la sortie de l'Herald 1200. Sur cette 1200, des freins à disques étaient disponibles à l'avant. Les ventes commencèrent alors à décoller, malgré la concurrence de la Mini et de la Ford Anglia. De plus, la version cabriolet (convertible) entrait en concurrence avec la Spitfire de la même marque, car elle offrait quatre vraies places et, malgré des performances moindres, elle plaisait davantage à une famille avec enfants. C'est aussi à cette période que sortit le break, appelé Courier, qui concurrença valablement la Morris minor Traveller. En 1967 sortit la dernière évolution de la gamme, appelée 13/60 : son moteur était dorénavant un 1300 cm³ développant 61 chevaux, ce qui était très honorable à la fin des années 60. En bref, la Herald a toujours plus grâce à son faible encombrement allié à un habitacle généreux et très lumineux, et des performances loin d'être ridicules.
Caractéristiques techniques. Carrosserie : longueur/largeur/hauteur/empattement (cm) : 386/153/135/231; poids : 780 kilos.
Moteur : 4 cylindres 1147 cm³, placé à l'avant, boîte de vitesses manuelle à quatre rapports,