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Plymouth Road Runner 383

vendue
Plymouth Road Runner 383   (1969)

Référence ch.8316
Marque Plymouth
Modèle Road Runner 383
Type coupe
Année de construction 1969
KM 59000 miles
Cylindrée 6276
Boîte de vitesses automatique
Conduite conduite à gauche

(d'après Wikipedia, l'encyclopédie libre) La Plymouth Road Runner (ou « Roadrunner ») est un modèle d'automobile de type « muscle car » produit par la marque Plymouth de la société Chrysler Corporation. Son nom vient du célèbre dessin animé américain Road Runner & Wile E. Coyote (Bip Bip et Coyote). Elle fut produite en 45 000 exemplaires de 1968 à 1980 et eut un grand succès grâce à sa puissance (moteur Hemi) et à son prix bon marché.
La Plymouth Road Runner a été commercialisée de 1968 à 1980, en passant par une grande diversité de modèles et continue à susciter un réel intérêt pour les collectionneurs. La plus belle époque du Road Runner fut celle de 1968 à 1971, années durant lesquelles elle était la plus puissante des « muscle cars » commercialisées aux États-Unis grâce à son moteur Hemi de Chrysler.
Le plus puissant moteur que la Road Runner possédait dans sa gamme, en option, était le Hemi 7 L (qualifié de « big block » car il avait une cylindrée supérieur à 6 L) de 425 ch. Ce moteur offrait à la voiture la réputation de prendre 13,5 secondes pour parcourir la dragstrip (piste de dragster, droite, de 402 mètres). Le roadrunner est souvent confondu avec la Plymouth GTX, qui est sa version haut de gamme conçue sur une base de Plymouth Satellite, lui donnant une assiette plus importante. Le Road Runner, contrairement à la Plymouth GTX était conçu sur une base de Plymouth Belvedere. La Dodge Super Bee de 1968 était l’homologue du Road Runner dans la division sportive de Chrysler, Dodge. Il existait aussi la Plymouth Superbird qui était un dérivé du Road Runner conçue pour la course de stock car, aussi commercialisée. Elle se différencie du Road Runner par son long nez et son aileron arrière de grande taille. Le Road Runner était la plus puissante voiture américaine commercialisée à cette époque. Plus tard il perdit de sa vigueur après les premières réformes écologiques de 1971 qui signèrent la fin de l’époque des American muscle cars, la course à la puissance.
Son coût était la deuxième clé de son succès : une voiture de 400 ch et plus (cela dépendait des modèles) pour moins de 3 000 dollars américains. Les américains l’adoptèrent très rapidement (le Road Runner fut produit en 45 000 exemplaires) bien qu'il fut quelque peu sommaire. Pour obtenir le temps de 13,5 secondes il fallait enlever l'inutile pour perdre du poids. Le Road Runner n'avait pas de tapis de sol. Il avait une simple banquette, pas de sièges baquets, très en vogue à l’époque. Il possédait un tableau de bord assez sommaire. Il avait le défaut des voitures américaines : les suspensions trop souples, qui leur donnaient une mauvaise tenue de route. Cependant, on ne peut rien reprocher à la Dodge Challenger ou Plymouth Barracuda (Cuda pour les connaisseurs) qui avait une suspension de course transam. Le Road Runner n’était pas luxueux ; c’est en partie pour cela que la GTX a été créée. Le côté sympathique du Road Runner était son petit klaxon « meep, meep » en allusion à sa mascotte
La Plymouth Road Runner de 1968 (la première génération) était assez unique. Elle était basée sur des voitures de luxe lourdes de la lignée B-corps (Plymouth Belvédère et Satellite), cependant le roadrunner était plus léger et plus petit que ces dernières. Pour que le Road Runner soit un exemple de performances et de bon marché, il oubliait tous les agréments, qualifiés par les sportifs de facultatifs, comme le tapis de sol…
Le nom Road Runner, qui vient d’un dessin animé, a été choisi par Plymouth à la suite d’un concours d'appellation auquel un petit garçon américain avait participé et il avait proposé le nom roadrunner. Il eut l'honneur que son idée fut retenue et un an après la Plymouth Road Runner apparut.
Le Road Runner était une voiture solide, à la différence des voitures de sport de l’époque comme la Corvette. Cela s’explique par le fait qu'il a été conçu pour le travail de rue. Sa solidité se prouve aussi par le fait que beaucoup d’exemplaires ont survécu jusqu’à nos jours et survivront encore, et ce malgré leur état de conservation assez mauvais la plupart du temps. En plus de sa solidité, qui le mettait à toute épreuve, autant qu’un tout terrain (les bosses n’étaient pas son problème), elle était plus rapide que toutes les voitures de police et elle profitait donc aux contrebandiers, pour un bas coût en plus (plus tard que 1968 et 1969). La seule chose que l’on pouvait lui reprocher était son aérodynamique de bus. Cette qualité était réservée aux Plymouth superbird, aux Dodge Charger 500 et aux Daytona 500, par exemple.
C’est lorsque les chiffres de vente du Road Runner ont augmenté que Dodge demanda son propre exemplaire qu’il appela Dodge « Super Bee » (« Super Abeille »), mais qui n’eut pas autant de succès que sa sœur.
Pour honorer sa mascotte, le Road Runner possédait un petit klaxon « meep, meep » et un dessin de John Wiley (le Roadrunner) sur son volant et son filtre à air était aussi doté d’un dessin avec le logo « Coyote Duster ». Le Roadrunner avait aussi des illustrations sur sa carrosserie.
Données techniques.
Carrosserie. Longueur/largeur/hauteur/empattement (cm) : 516/201/134/295; poids : 1560 kg.
Mécanique. Moteur V8 6280 cc, à l'avant, 16 soupapes, 3 carburateurs double corps, boîte manuelle à quatre rapports, transmission aux roues arrière. Puissance maxi : 335 chevaux (247 kW) à 5000 t/m; couple : 576 Nm à 3400 t/m.

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